• Embrasse moi dessus bord
    Viens mon ange, retracer le ciel
    J'irai crucifier ton corps,
    Pourrais-je depunaiser tes ailes ?
    Embrasser, te mordre en même temps
    Enfoncer mes ongles dans ton dos brulant
    Te supplier de me revenir et tout faire
    ô tout pour te voir partir et viens!
    Emmene moi là bas
    Donne moi la main
    Que je ne la prenne pas
    Ecorche mes ailes
    Envole moi
    Et laisse toi tranquille a la fois
    Mille fois entrelassons nous
    Et lassons nous meme en dessous
    Serre moi encore serre moi
    Jusqu'a etouffer de toi

    Il y a des salauds
    Qui pillent le coeur des femmes
    Et des femmes qui n'savent plus trop
    D'ou l'amour tire son charme
    Papillons de fleurs en fleurs
    D'amour en amour de coeur
    Ce qui n'ont qu'une etoile
    Ou ceux qui brulent leur voiles

    J'aime tes larmes quand tu aime
    Ta sueur le sang, rendons nous amants
    Qui se passionne, qui se saigne
    J'aime quand mon ecorché est vivant
    Je ne donne pas long feu
    A nos tragédies, à nos adieux

    Reviens moi, reviens moi
    Tu partira mieux comme ça
    A force de se tordre,
    On en finirai par se mordre
    A quoi bon se reconstruire,
    Quand on est adepte du pire
    Malgré nous, Malgré nous,
    A quoi bon se sentir plus grand
    Que nos, deux grains de folie dans le vent
    deux ames brulantes deux enfants

    Il y a des salauds
    Qui pillent le coeur des femmes
    Et des femmes qui n'savent plus trop
    D'ou l'amour tire son charme
    des Papillons de fleurs en fleurs
    D'amour en amour de coeur
    Ce qui n'ont qu'une etoile
    Ou ceux qui brulent leur voiles

    Embrasse moi dessus bord
    Viens mon ange, retracer le ciel
    J'irai crucifier ton corps,
    Pourrais-je depunaiser tes ailes ?
    Embrasser, te mordre en même temps
    Enfoncer mes ongles dans ton dos brulant
    Te supplier de me revenir et tout faire
    Pour te voir partir et viens!
    Emmene moi là bas
    Donne moi la main
    Que je ne la prenne pas
    Ecorche mes ailes
    Envole moi
    Et laisse toi tranquille a la fois
    Mille fois entrelassons nous
    Elassons nous meme en dessous

    Serre moi encore serre moi
    Jusqu'a etouffer de toi {x2}

    Serre moi encore serre moi

    (petite pensée pour un connard, avec lequel je serais sorti, 2 mois... de trop)


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  • DOWN WITH THE SICKNESS

    Me noyant profondément dans ma mer de dégoût
    Cassé, votre serviteur je m'agenouille
    J'ai l'impression que ce qui reste de mon humanité change
    Change lentement en moi

    Regardant mon propre reflet
    Quand soudainement il change
    Violemment il change
    Oh non, on peut pas revenir en arrière maintenant
    T'as réveillé le démon qui sommeillait en moi

    Lève-toi, viens descendre avec la folie
    Ouvre-toi à la haine et laisse-la flotter en moi
    Toi mère lève toi, toi enculé lève toi
    La folie est le don qu'on m'a donné

    Je vois qu'en toi la folie se lève
    Essaie pas de nier ce que tu ressens
    On dirait que tout ce qui allait est mort
    Et décline en toi

    On dirait que t'as des problèmes
    Avec ces changements
    Vivant avec ces changements
    Le monde est un lieu effrayant
    Maintenant que t'as réveillé le monde qui sommeillait en moi

    Et quand je rêve
    Non maman le fais pas encore
    Le fais pas encore
    Je serai un bon garçon
    Je serai un bon garçon, je promets

    Non maman me frappe pas
    Pourquoi tu m'as frappé de cette façon
    Arrête tu me fais mal
    Pourquoi t'as été une telle salope

    Pourquoi pas
    Pourquoi tu la fermes pas et crèves
    Pourquoi tu peux pas fermer ta gueule et crever
    Pourquoi tu peux pas te casser et crever

    Ne remet jamais ta main dans ma gueule salope
    Je t'encule
    J'ai pas besoin de cette merde
    Espèce de sale pute de merde stupide, sadique et abusive

    T'aimerais savoir ce que ça fait
    Voilà, prépare toi à crever


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  • Je digère un passé étiolé, ce monstre athée rêve maintenant. Le sang fatigué, je me rends vers les seins. Nos vies au creux des mains, je balbutie d'effroi. Et tout me manque à l'instant ; d'instinct, le mal s'obtient par le corps. Et j'égaye mes plaies, sablées. L'hôte souffrait que ton être se refuse à son poste. Je feindrais ma mort pour que tu me prennes dans ton exode. Je me suis perdue au printemps de la vie. Tant pis, je t'en remercie de tout coeur. La faim au ventre, je t'étouffe de mes bras. Te prouve mon ardeur, Tu manques à mes tissus sans chaleur. Regarde, regarde, jeunesse se passe. Je suis venue te dire à un moment. D'égard, mégarde, Ma vie, faite de toi et moi, Je nous aime à présent. Amour secret d'alcôve, nous sommes tous comme des fauves. Il est temps que mes dragons viscéraux te détournent de nos vautours. Tours à tours ils s'égarent. On se lache. Ton fantôme rode, me hante. Autour de l'aube, on nous attend. Nos visages anguleux, fébriles se détériorent. Nos cages cutanées, granuleuses élaborent une effraction à nos règles. Aussi bas qu'est le silence d'un prêtre, j'ai pris la parole à mon être. Regarde, regarde, jeunesse se lasse. Je prie l'élue de vivre tes moments. Blafards, bavarde. Confesse ses taches. Dans nos veines s'écoule le même sang. Regarde... Dans nos veines s'écoule le même sang. Sommes nous heureux ici et maintenant ? Seras-tu là pour l'entendre ? Sommes nous heureux ici et maintenant ? Seras-tu là pour m'attendre ? Seras-tu là ? On aura bientôt plus le temps ! Je me parle ou presque. Comme si c'était toi. Possédant mon moi, tu y vois plus clair. Je suis l'est et l'ouest, toi le nord et le sud. Rends toi sans mesure. Que le temps me semble beau : L'humain sent si bon. Que les cieux me semblent chaud. Demain est si loin. Mon univers, un paradis. Que le temps me semble beau : L'humain sent si bon. Que les cieux me semblent chaud. Demain est si loin. Ailleurs, c'est ici. Avec toi ailleurs c'est ici, avec toi ailleurs c'est ici. Je nous aime à présent.

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  • Mes yeux
    Voient la beauté
    Du monde qui m'entoure
    Je souris
    Comme un enfant
    J'aime m'apercevoir

    Comme la vie est si belle
    Comme la vie est parfois si belle

    Des rires
    Des regards
    Tant de choses me font penser
    A
    Quel point
    J'ai trop oublié

    Comme la vie est si belle
    Comme la vie est parfois si belle

    C'est si simple
    La vie est belle
    C'est simple
    La vie est si belle

    je ss pas tt a fait daccor ac les parole mé kd on é déprimé, elle fé kd mm du bi1... elle redonn un peu de courage. Et pour tt les personn qui veulent ce suicidé pensé a tt le mal ke vs allé faire ... et ne pensez vs pa ke c un peu égoiste, de penC "apré moi le déluge"


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  • Tu n'es pas mieux que moi !
    Si c'est ton jeu, détruis-moi !
    Mange les restes dans la poubelle.
    Mais vomis pour que tu sois plus belle.
    Belle est laide quand elle est sur scène.
    Elle se moque de tout même.
    Quand ils la saignent.

    Lève-toi !
    Ces gens parlent si bas.
    Lève-toi !
    Ne les entends pas !
    Mais je les écoute.
    Laide a un doute.
    Ils ne me connaissent pas.
    Mais crachent treize fois.
    Je connais bien mon rôle.
    Et j'ai besoin de toi.

    Tu n'es pas mieux que moi.
    Salis-moi, ne me néglige pas.
    Tu n'es pas mieux que moi.
    Qui suis toi.
    Tu ne t'aimes pas ?
    Tu n'es pas mieux que moi.
    Si c'est ton jeu, détruis-moi !

    Suceurs, tout est dans ma bouche.
    J'en suis la souche.
    Votre venin est si doux.
    La grosse ne crachera pas.
    Tes ongles sont si sales.
    Ton vernis craque.
    Elle, quelque fois.
    Aurait voulu être elle.
    Quelques joies pour quelques peines.

    Elle, sans visage, ne donne pas son âge.
    Le regard, sagement dérobé.
    Elevage des âmes, plein corsage...
    Quel corps vais-je vendre aujourd'hui ?
    Choisir je ne saurais.
    Mais pour eux le mieux serait.
    La peau nue de ma poupée ;
    Si souvent, je la porterais.
    Vous pourrez alors, cracher, détruire, voler, me saccager.

    Sous elle je ris si fort que peut-être m'entendrez-vous?
    Sous elle je ris si fort que peut-être m'entendrez-vous?
    Sous elle je ris si fort que peut-être m'entendrez-vous?
    Sous elle je ris si fort que peut-être étais-ce vous?

    Sous elle, je cris si fort. Sous elle, je ris si fort. Sous elle, je vis si fort. Sous elle, je prie si fort. Sous elle, je gis si fort. Sous elle, je ris si fort que peut-être m'entendrez-vous ?
    Sous elle, je cris si fort que peut-être la tueriez-vous ?

    Elle sans visage, ne donne pas son âge.
    Le regard sagement dérobé.
    Elevage des âmes, plein corsage...
    Quel corps vais-je vendre ?
    Aujourd'hui. N'est pas sans rappeler demain.
    Je regarde le sang sur mes mains : Beau paysage !


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