• Terrorisme

     


     


     

    La seule expérience de lutte armée du mouvement nationaliste français créée en 1961 à Madrid par Lagaillarde. C'est l'Organisation Armée Secrète (OAS) dans le contexte de la lutte de la libération nationaliste algérienne. Cette organisation à comme bras armé : Les Commandos Z, qui réunissent un millier de militants. Mais d'importants conflits d'ordre financier règne dans l'organisation et cela la fragilise. Ils auront eu, à l'époque, comme principal objectif, l'assassinat du générale Charles de Gaulle.

     

    En 1988, entrée en scène de militants néo-nazi. Avec l'OJC (Organisation Juive de Combat), qui en décembre (à Cogne-sur-Mer) et en mai 1988, à Cannes, provoqua la mort de travailleurs émigrés et d'une dizaine de blessés.

     

    Le 28 septembre 1989, la police saisit un arsenal de 100 kg de divers explosifs et munitions sur un bateau.

     

    En 1994, il est reproché à un ancien de la police judiciaire de Nice, d'avoir entreposé dans un garage un véritable arsenal composé d'explosifs, chargeurs, détonateurs... La particularité de cette affaire est que la quasi-totalité de ce stock saisi en 1994 est justement liée aux attentats du PNFE de 1989.

     


    L'on peut encore nommer beaucoup d'autre affaire du même style, comme celle de Copeland, etc...


     

    source:http://reflexes.samizdat.net/article.php3 (c'est un résumer)

     


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  • Les ressources financière des organisations bonehead

     

    Toute cette culture bonehead est tout d'abord une question de politique fasciste aimant l'ultra violence et de musique. Mais autour de ça, se crée tout un business grâce à des :

     

        Librairies (AEncre)
        Magasins (Orange Métallique, Boys, Le Spirit of London...)
        Concerts et festivals (cf annexe) (Quelques concerts de l'année dernière (liste non-exhaustive faute de place dans ces notes !) :
    06 février ; Elsasskorps, Faustrecht et Durandal à une centaine de kilomètres de Strasbourg
    20 mars : Durandal, Bagadou Stourm et Les Vilains à St Amand
    01 mai : Durandal, Londinium SPQR et Mistreat à Chartres
    01 mai : Fraction Hexagone, Sturmtrupp, Involved Patriots à Strasbourg
    19 juin : Panzerjäger dans la banlieue de Lille
    17 juillet : Panzerjäger à Rouvroy (62)
    24 juillet : idem
    07 août : Elsasskorps, Landstorm (le groupe de Jasper), Panzerjäger, Gesta Bellica et Razors Edge dans la banlieue de Strasbourg pour le 6ème anniversaire d'Elsasskorps.
    14 août : Fraction Hexagone, Baignade interdite et Dernier Rempart à quelques kilomètres d'Auxerre
    04 septembre : Panzerjäger à Somain (59)
    11 septembre : Criminal in Feast et The Vero's (nouvelle formation d'un vieux skinhead issu du groupe Snix dans les années 1980) à Beuvry (62)
        Magazines (Nordland, Resistance, Engrenage Infernal, Réfléchir/Agir...)
        Radios (Blood and Honour
        Sites de vente (
    www.les-identitaires.com; www.francepolitique.free.fr)
        Labels (Memorial Record, ISD Record...)
        Gadgets (vêtements, patche, bijoux, autocollant, arme...)
        Drogues
        Armes

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  • Allemagne
    L'association Blood and Honour se développe. Tant bien que le nazi-skin, dans certaine région (plus particulièrement rurales), devient la culture unique (j'entends par culture : look, style de vie, concert tous les trois jours, une manifestation par semaine). Blood and Honour comptait environ 300 membres, au départ, est maintenant environ 10 000 membres. Ils ont une base musicale nationale et internationale, et ils y ont greffé une construction politique.
    Scandinavie
    Blood and Honour, en Scandinavie, est spécialisé dans les trafics d'armes, stupéfiants et anabolisants. Cette « spécialité » scandinave date des années 80 (avec le groupe Hoffmann). Malgré tout Blood and Honour arrive, en Scandinavie, qu'en 1997 et l'essor de la musique White Power en 1994. Cette même année, on aura répertorié 5 200 allemands et 260 français, inscrit au Blood and Honour.
    Grande-Bretagne
    En 1992, création du label « ISD Record » (Ian Stuart Donaldson Record)
    En 1996, premier attentat du C18 (voir plus haut)
    En 2005, ISD Record produit 22 CD et réalise 20 000 pounds de profit. Cette rentrée d'argent aura provoqué des divisions au sein du C18. ISD produit des groupes anglais, diffusé par la suisse à partir du réseau Hammerskin (cf plus haut) et les relais de diffusions sont en  Scandinavie, Pays-Bas...
    Pologne
    A partir des années 80, une structure professionnelle copiée sur l'Allemagne né. Premier procès, en 1996, pour atteinte à la sécurité de l'état. La scène skinhead est d'environ 10 000 personnes en Pologne (ils ont environ 20 magazines et produisent environ 60 CD et K7 par an.). Ils ont des liens important avec la Grande-Bretagne, la France, l'Ukraine et la Tchécoslovaquie.
    Pays-Bas
    En 1995 développement de la Gabber Music (c'est un mélange de techno et de hardcore) à Rotterdam. Le phénomène s'appui sur une consommation de stupéfiant et sur un racisme virulent.
    Canada
    En 1993, Résistance Record était lancé par le mouvement nazi « l'Eglise du Créateur », qui était aussi un fanzine avec 30 000 abonnés. En 1997, l'état s'attaque à Résistance Record pour fraude fiscal, au final : confiscation de 50 000 CD et 60 000 dollars d'amende, W.Pierce (vieux nazi de 88 ans auteur d'une bible raciste) rachète alors le label. Ce label a 50 boites de diffusion et produit environ 100 groupes de différents styles.
    Angleterre
    En 1991, C18 réunie les néo-nazi britannique à vocation terroriste. Ils auront commis des attentats meurtriers à Londres en 1999 (voir David Copeland, qui se sera inspiré de la bible de Pierce, qui prévoit une guerre raciale). Stuart Kerr, 19 ans, pose une bombe dans un magasin asiatique puis brûle une voiture de police. James Shaw, 57 ans, s'apprêtait à poser des bombes à Londres, avant que la police l'arrête... et bien d'autres exemples dans le même genre peuvent être cités.
    France
    On y compte environ 600 boneheads. Mais la situation n'est pas dramatique pour autant. Les fanzines nazi, ne dur pas longtemps (Ultime Combat : seul 2 numéro auront été publié ; Final Solution : 3 numéro...). Il existe plusieurs groupes comme Panzerjäger dans le Nord, Frakass à Lyon, Elsass Korps en Alsace, Celtic Crass en Bretagne... Mais là encore, beaucoup de groupe Oï ou RAC, non pas foi au nazi et donc se reconvertissent en d'autre style. Malgré tout, un label aura été créé Pit Record dans l'Essonne. Ils ont des artistes américains, australiens, italiens, et bien sûr français...
    Nous pouvons retrouver aussi quelque magasins bonehead comme Orange Mécanique (à Cherbourg), Boys (à Béthune et saint Omer), Le Spirit of London (à Limoge).

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  • Combat 18

     


     

    Organisation nazi-britannique formée en 1992, après des réunions entre les membres du groupe Blood and Honour. Le 18 contenu dans leur nom est généralement employés par les groupes néo-nazi, et est dérivés des initiales d'Adolf Hitler : A et H sont la 1er lettre et 8ème lettres de l'alphabet. Il a été créé en réponse aux antifascistes sur des réunions de la Partie Nationale Britannique (BNP) et d'autre groupe d'extrême droite. Certains journalistes disent qu'au contraire, il aurait été créé par le service de sécurité interne britannique MI5 pour critiquer la BNP et pour attirer les néo-nazi les plus violents au Royaume-Uni. Le C18 aurait servi au MI5 pour filtrer les groupes paramilitaires loyalistes en Irlande du Nord. Ainsi, il aura eu une « permission » de blesser les antinazis dans l'Est londonien et de brûler les librairies de gauche, les vols de renseignements permettaient de dresser des listes de centaines de victimes potentielles. Cette liste incluait des noms de membres du Parlement, celui du chef du parti libéral-démocrate, Paddy Ashdown, chef principal de la police de Londres, Richard Wall. Elle comportait aussi une vingtaine d'informations sur les techniques de fabrication des bombes. Une copie de cette lettre fut récupérée et donnée aux membres de l'équipe de lutte anti-C18, la police fit une descente chez les chefs du C18 (Charlie Sargent et Will Browning). Charlie Sargent fut responsable d'attaque contre les membres de l'équipe du BNP, qui s'opposaient à leur trafic d'armes et de drogues. En 1998, Charlie Sargent a été condamné pour le meurtre d'un membre de son groupe C18 en 1997. Entre 1998 et 2000, des douzaines de membre du C18, au Royaume-Uni, ont été arrêtés par la police sur de divers faits, dans plusieurs opérations conduites par la cour d'Ecosse en coopération avec MI5. Parmi les personnes arrêté : Steeve Sargent (frère de Charlie), deux soldats britannique, Darren Theran (régime de parachute), Karl Wilson (1er bataillon et 1er de la reine), et bien d'autre... Plusieurs de ceux arrêté, on été emprisonné par la suite.

     

    Pendant avril 1999, David Copeland (22 ans) a effectué une campagne de bombardement en voulant viser les noirs, asiatiques, et la communauté gay à Londres. Le 17 avril 1999, une bombe éclate dans Brixton, et les semaines suivantes une ruelle de Londres fut aussi bombardée, par trois bombes remplies de clous.

     

    Aujourd'hui, Will Browning est le seul leader du C18, il aurait essayé, en 2000, d'organiser une campagne de lettres piégées à partir du Danemark. Mais trois personnes, qui faisaient parti du C18, ont été arrêtées. Ces trois personnes ont appris que l'ancien leader du C18, Charlie Sargent, informait la police sur les activités du C18.

     

    Le 30 avril une troisième bombe a tué trois personnes, y compris une femme enceinte, et blessé plus de 100 personnes. D.Copeland a été arrêté le 30 juin 2000.

     

    Le C18 est international, il est en Slovaquie, en Angleterre, en Serbie, en Ireland, en Scandinavie, et en Allemagne.

     


     

    En 2001, les attaques du C18 sur les communautés musulmanes ont mené à la formation du combat musulman (789 groupes).

     


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  • Hammerskin

     

    Hammerskin est un réseau international d’adeptes des thèses néonazies, qui avaient menacé de mort plusieurs personnalités françaises sur un site Internet. Leur symbole est deux marteaux croisés. Le symbole provient du film « The Wall » des Pink Floyd. Treize français ont été interpellés dans plusieurs villes, dont Lyon, Rouen et Marseille, depuis septembre 1997. Huit d’entre eux ont été écroués après avoir été mis en examen par le juge d’instruction toulonnais pour « menaces de mort, provocation à la haine raciale, apologie de crimes contre l’humanité et de crimes de guerre ». L’un des responsables présumés du réseau, Hervé Guttuso, un français de vingt-cinq ans installé à Londres, a été incarcéré en Grande-Bretagne et pourrait être prochainement extradé.

     

    Au total, l’enquête mené par la gendarmerie maritime de Toulon a permis d’identifié quelque 1.500 personnes dans le monde, sympathisantes du groupe néonazi dénommé CHR (Charlemagne Hammer Skin).

     

    Les gendarmes ont découvert, au cours de perquisitions au domicile de plusieurs personnes interpellées, de nombreux documents et de revues, en particulier « W.O.T.A.N » (Will of the Arian Nation). L’enquête s’est ensuite étendue à la Grande-Bretagne, avec la coopération de Scotland Yard, après la découvert des coordonnées de l’adresse du site Internet de CHR. Ce site, activé depuis l’Angleterre et qui recevrait quelque 5.000 connexions par mois, comprenait notamment des menaces explicites de mort envers plusieurs personnalités françaises de la politique ou des médias. Le texte précisait notamment : « il faut que nos ennemis paient », a indiqué l’une des personnes visée, Patrick Gaubert, vice-président de la Ligue internationale contre le racisme et l’antisémitisme (LICRA) et ancien conseiller du ministre de l’Intérieur, Charles Pasqua.

     

    Selon les enquêteurs, les plus extrémistes d’entre eux sont en effet de farouches admirateurs du IIIe Reich, d’Adolf Hitler et du Ku Klux Klan.

     

     

    En 2004, huit membres d’un réseau de satanique néo-nazi ont été condamnés par le tribunal de Toulon. Ils étaient accusés de diffusion d’une revue exhortant à la haine raciale et antisémitisme, et profanation de sépulture. Sept d’entre eux ont comparu lors des audiences lundi 2 février et mardi 3 février 2004. Lundi 16 février 2004, le tribunal a prononcé des peines de prison et de privatisation de droits, et accordé des dommages et intérêts aux parties civiles.

     

     


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