• Sell the kids for food
    Weather changes moods
    Spring is here again
    Reproductive glands
    He's the one
    Who likes all the pretty songs
    And he likes to sing along
    And he likes to shoot his gun
    But he knows not what it mean
    Knows not what it mean
    And I say
    He's the one
    Who likes all the pretty songs
    And he likes to sing along
    And he likes to shoot his gun
    But he knows not what it mean
    Knows not what it mean
    And I say yeah

    We can have some more
    Nature is a whore
    Bruises on the fruit
    Tender age in bloom

    He's the one
    Who likes all the pretty songs
    And he likes to sing along
    And he likes to shoot his gun
    But he knows not what it mean
    Knows not what it mean
    And I say
    He's the one
    Who likes all the pretty songs
    And he likes to sing along
    And he likes to shoot his gun
    But he knows not what it mean
    Knows not what it mean
    And I say yeah

    He's the one
    Who likes all the pretty songs
    And he likes to sing along
    And he likes to shoot his gun
    But he knows not what it mean
    Knows not what it mean
    And I say
    He's the one
    Who likes all the pretty songs
    And he likes to sing along
    And he likes to shoot his gun
    But he knows not what it mean
    Knows not what it mean
    And I say yeah

    Vendez les enfants pour la nourriture Survivez à aux modes de changements Le ressort est ici encore Glandes reproductrices Il est celui Qui aime toutes jolies chansons Et il aime chanter le long Et il aime tirer son pistolet Mais il sait pas ce qui il moyen Sait pas ce qui il moyen Et je dis Il est celui Qui aime toutes jolies chansons Et il aime chanter le long Et il aime tirer son pistolet Mais il sait pas ce qui il moyen Sait pas ce qui il moyen Et je dis ouais Nous pouvons avoir encore plus La nature est une putain Contusions sur le fruit Âge d'offre en fleur Il est celui Qui aime toutes jolies chansons Et il aime chanter le long Et il aime tirer son pistolet Mais il sait pas ce qui il moyen Sait pas ce qui il moyen Et je dis Il est celui Qui aime toutes jolies chansons Et il aime chanter le long Et il aime tirer son pistolet Mais il sait pas ce qui il moyen Sait pas ce qui il moyen Et je dis ouais Il est celui Qui aime toutes jolies chansons Et il aime chanter le long Et il aime tirer son pistolet Mais il sait pas ce qui il moyen Sait pas ce qui il moyen Et je dis Il est celui Qui aime toutes jolies chansons Et il aime chanter le long Et il aime tirer son pistolet Mais il sait pas ce qui il moyen Sait pas ce qui il moyen Et je dis ouais


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  • sI cEttE pErsOnNe Se RecOnnAit Je Me FaiT Un PlAiSiR dE mArQuER SoN NoM
    SoN DeSsIn EsT MagNiFiQuE


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  • I will never bother you
    I will never promise to
    I will never follow you
    I will never bother you

    Never speak a word again
    I will crawl away for good

    I will move away from here
    You won't be afraid of fear
    No thought was put into this
    I always knew it would come to this
    Things have never been so swell
    I have never felt this well

    Pain...
    You know you're right...

    I'm so warm and calm inside
    I no longer have to hide
    Let's talk about someone else
    Steaming soup against her mouth
    Nothing really bothers her
    She just wants to love herself

    I will move away from here
    You won't be afraid of fear
    No thought was put into this
    I always knew it'd come to this
    Things have never been so swell
    I have never felt this well

    Pain...
    You know you're right
    Pain...
    ( le clip de cette chanson a été réalisé après sa mort ... si vs pouvé le voir, regardé-le ça vau le cou )

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  • traduction:

    Boddah ,
    Paroles de la bouche d'un simplet expérimenté qui, de toute évidence, est un pleurnichard émasculé et infantile. Cette lettre est assez simple à comprendre. Tous les signaux d'alertes lancés par les théoriciens du rock punk au fil des années, de ma première initiation à, disons, l'éthique qui accompagne l'indépendance et l'étreinte de votre communauté, se sont révélés justifiés.
    Cela fait trop d'années que je n'éprouve plus d'excitation en écoutant et en créant de la musique, ni en lisant ou en écrivant des textes. Je me sens coupable, au-delà des mots. Par exemple, lorsque nous sommes en coulisses, quand les lumières s'éteignent et quand la clameur maniaque de la foule commence à gronder, ça ne me touche pas autant que ça touchait Freddy Mercury, qui aimait cela, se délectait dans l'amour et l'adoration des gens. C'est quelque chose que j'admire et que j'envie. Le fait est que je ne peux pas vous tromper plus longtemps. Je crois que le crime le plus bas, c'est tromper les gens, en leur faisant croire que je m'amuse vraiment. Parfois, j'ai l'impression qu'on me demande de pointer avant de monter sur scène. J'ai fait tout ce qui était en mon pouvoir pour apprécier cela (et j'apprécie ça, Dieu le sait, mais pas assez). J'aime l'idée que nous avons touché et distrait tant de gens. Je dois être l'un de ces gars narcissiques qui n'aiment les choses qu'une fois disparues. Je suis trop sensible. Il faut que je sois légèrement tétanisé pour récupérer l'enthousiasme de mon enfance. Lors de nos trois dernières tournées, j'ai beaucoup mieux apprécié les gens que j'ai rencontrés et qui aiment notre musique, mais je n'arrive pas à surmonter la frustration, la culpabilité et la compassion que j'éprouve envers tout le monde. Il y a du bien dans chacun d'entre nous, et je crois que, tout bonnement, j'aime trop les gens, je les aime tellement que ça me rend foutrement triste. Ce poisson triste, insensible, ingrat, bon Dieu ! Pourquoi est-ce que tu es incapable d'en retirer du plaisir ? Je n'en sais rien ! J'ai une déesse pour épouse, qui transpire l'ambition et l'empathie, et une fille qui me rappelle ce que j'étais. Elle est pleine de joie et d'amour, elle embrasse tous ceux qu'elle rencontre, parce que le monde est bon et que nul ne doit lui faire du mal. Et ça me terrifie au point que je ne peux plus fonctionner correctement. Je ne supporte pas de penser que Frances deviendra un jour malheureuse, auto-destructrice, flirtant avec la mort, comme moi. J'ai une belle vie, et j'en suis reconnaissant, mais depuis l'âge de sept ans, je déteste le genre humain dans sa globalité. Seulement parce que ça semble tellement facile pour les gens de s'entendre entre eux et d'être compatissants. Seulement parce que j'aime les gens et que je me désole trop sur leur sort. Merci à tous, du plus profond de mon estomac brûlant et nauséeux, pour vos lettres et vos attentions. Je suis un gosse trop fantasque, trop capricieux ! Je n'ai plus la passion, et, souvenez-vous, mieux vaut brûler vivement que de s'éteindre à petits feux.

    Paix, Amour, Compassion,

    Kurt Cobain

    Frances et Courtney, je serai à votre autel.
    S'il te plaît Courtney, tiens le coup, pour Frances.
    Pour sa vie, qui sera bien meilleure sans moi.

    Je vous aime, je vous aime !


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