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les différents mouvements
1ére EPOQUE ( de 1960 à 1977 )
Le MOD (1962-67)Issu de la classe ouvrière
A la moitié des 60's, la plupart tournent hippies,
mais les gangs de hard mods deviennent
de plus en plus "durs".Le RUDE BOY (1960-70)
Mouvement de jeunesse jamaïcain,
copiant l'habillement des gangsters.
Il se répand sur la jeunesse immigrée antillaise
en Angleterre. Alliés des mods, ils deviennent vite
un "modèle" pour les premiers skins.Le SUEDEHEAD (1970-73)
Après quelques années, les cheveux repoussent
un peu et les vêtements sont de plus en plus
élégants. Plus de style, mais le même esprit.Le SMOOTHIE (1971-74)
Les cheveux encore un peu plus
longs, mais le même goût des stades de foot et de la
musique noire. Ils adoptent également le Glam Rock.Le BOOT BOY (1972-77)
Le style "de rue" des suedeheads / smoothies.
Il restera très vivant jusqu'à l'arrivée du punk, surtout hors des villes.
(Un look que l'on retrouve dans "Orange mécanique"
de Stanley Kubrick.)LE REVIVAL SKINHEAD ( de 1978 à aujourd'hui )
C'est avec l'explosion Punk que les skins réapparurent nombreux.
Mais c'est également à cette période qu'apparurent les boneheads et par là la mauvaise image du mouvement.
(1978 à nos jours)
Principalement relancé par l'apparition
du Ska 2-tone. Le mouvement retourne
vers ses racines, en réaction à la "nazification"
qui commence. Il perpétue l'esprit de 1969,
fans de reggae, de soul, de rocksteady et de ska, circulant
à scooter comme les mods, ils ne mêlent guère musique et
politique mais affichent un antiracisme et un antifascisme
sincères et revendiquent leur appartenance à la working class
(classe ouvrière). Ils sont , au sens historique, les vraiscontinuateurs de la première vague skinhead.
Le SKIN OI !
(1978 à nos jours)
Apparu autour de la scène Oi !.
Ce style, pas du tout "nazifié", trouve dans
la Oi ! music une expression
plus working class de la révolte Punk.
De nos jours, la scène Oi ! et la scène
2-Tone Revival sont rès souvent liées.Le BONEHEAD (cf annexe 2)
(1978 à nos jours)
Vient d'une partie "nazifiée" de la scène Oi!.
Le bonehead s'est ensuite créé
sa propre musique : le RAC
(Rock Against Communism), et n'a plus
aujourd'hui que de très lointaines similitudes
vestimentaires avec le mouvement skin originelLe REDSKIN skinheads communistes. À l'origine ce ne sont pas des skinheads mais des fans d'un groupe de soul anglais des années 1970, The Redskins (qui affichaient un discours trotskiste sur fond de soul-rythm'n'blues mâtiné de punk-rock). Les premiers redskins affichaient un look plutôt punk ou modernist. Ils se sont ensuite rapprochés du style skinhead originel en conservant quelques particularitées : veste bombée retournée, côté doublure orange, lacets rouges, insignes communistes divers... Dans les années 1980 en France les redskins ont combattu les boneheads sur leur propre terrain, la rue (époque des "chasseurs de skins [nazis]"). Certains redskins ont un temps constitué le service d'ordre des concerts des Béruriers Noirs.
Le SKUNK
(1978 à nos jours)
Sorte d'hybride entre le punk et le skin.
Il se retrouve souvent aujourd'hui
autour de la scène hardcore.Les SHARP Skinheads : Skinheads Against Racial Prejudice (skinheads contre les agressions raciales) ou Skinheads Against Racist People (skinheads contre les racistes). Le mouvement est apparu à New York vers 1980 puis a été acclimaté en Europe par les membres du groupe britannique The Oppressed. Les fondateurs étaient souvent des militants syndicaux mais le mouvement se veut libre de toute affiliation à un parti ou un syndicat. Il s'agit de réaffirmer le lien entre la culture skinhead et la classe ouvrière (working class), donc ses valeurs : fraternité, solidarité, lutte sociale, rejet viscéral de toute forme de racisme ou de fascisme... Le logo Sharp reprend le casque de guerrier grec du label Trojan. Aux États-Unis et au Royaume-Uni, plus rarement en France, les skinheads sharp s'affichent souvent comme patriotes, ou tout du moins comme supporters de leur équipe de foot nationale
Les boneheads se feront remarquer en France pour la première fois lors d'une fête du FN (où Brahim Bouarram sera noyé dans la Seine, à cause de sa couleur de peau). Les boneheads trouvent le FN trop modéré est fonde le réseau skin-nazi, ils se mêlent au Hooligans. Leur phrase clef est : « il faut que tout le monde reste chez soi et progresse à son rythme ».
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Commentaires
slt moi aussi je sui un skinheads rasciste ++ contacte moi a mon adress tkt pas je suis pas un arbe si tu voi sur mon adress ses marquer yacine ses parsecque on pas voler mon adress bon on enparlera